Stage de créativité à l'atelier
Apprendre à lâcher prise en peignant avec son corps :
Expérience puissante et efficace pour débloquer le processus créatif.

Créativité et confiance en soi

Se réconcilier avec son enfant intérieur pour s'autoriser à aller à l'essentiel : sa créativité.

S'accorder un temps de recréation

Confiance en soi et créativité
Lorsque je m'écoute vraiment, j'entends clairement mon enfant intérieur réclamer des temps de récréation. Est-ce que je lui en accorde ? Est-ce que je respecte son besoin naturel d'expression ? Si la réponse est non, cela veut dire que je le frustre. Est-ce ma volonté profonde ? Ne serait-ce pas plutôt par peur de décevoir l'adulte en moi qui a développé complexes et exigences basées sur le regard de l'autre ? Pourtant je sais et sens bien que mon enfant intérieur commence à étouffer dans la peau durcie de l'adulte qui s'apparente à une cuirasse, pour ne pas dire une enceinte de prison...
Qu'est-ce qui m'empêche d'offrir à mon enfant intérieur des temps libres d'expression si ce n'est la peur de bousculer l'adulte qui risque d'être dépassé par la liberté révolutionnaire de son enfant intérieur ?
Mon enfant intérieur n'a t'il pas besoin de prendre l'air, de s'amuser,gambader,créer,crier, s'exprimer, se lâcher en toute liberté ?
Dans le fond, j'ai peur de lâcher prise avec l'adulte"sérieux", affairé et stressé en permanence par les tâches et préoccupations du quotidien. Je suis devenu le gardien d'une prison érigée paradoxalement pour mettre en sécurité mon enfant intérieur. Je l'ai enfermé comme s’il était une menace à l’adulte que je suis devenu.
Est-ce que je considère mon enfant intérieur comme dangereux parce que susceptible de remettre en question cet adulte ? Qu'est-ce que l'adulte cache donc à cet enfant ?
Si j'ai parfois du mal à respirer la liberté de cette vie,si je pleure dans ma prison d'adulte quand je vois mon enfant intérieur regarder l'horizon à travers des barreaux, qu'est-ce qui m'empêche de lui accorder de temps à autre une permission de sortir ? Les stages de créativité par le mandala vont te permettre de te centrer sur toi et t'occuper "créativement" de ta personne.

Tu es pleinement artiste quand tu braves tes peurs et oses te mettre en lien avec ton enfant intérieur. Et ton artiste-guérisseur se réveille et t'insuffle la confiance en ton essentialité lorsque tu crées pour le seul plaisir de créer et que tu n'attends ni résultat ni réponse.
Quand tu crées, en toute humilité, cela te centre sur toi-même, et te met en lien avec ton univers intérieur.
Aucune thérapie ne t'apportera l’adéquation avec toi-même tant que tu n'accorderas pas à ton enfant intérieur ce dont il a besoin pour s'épanouir, tant que tu ne lui accorderas pas suffisamment d'importance,c'est à dire lui offrir des temps de récréation. Le besoin de créer procède d’un élan naturel.
Écoute vraiment ton enfant intérieur si tu veux répondre à ton besoin naturel de s’exprimer...en couleur !

Créer en concience , tout en se libérant du souci technique, permet d'accueillir pleinement l’interaction créative qui se met en place entre l’œuvre et toi.
Si le résultat esthétique parle à ton cœur, et non à ton mental amené à spéculer, considère modestement ton œuvre comme un don de la vie. La progression technique se fait naturellement avec la pratique, c’est évident. Le degré d’appréciation d’une œuvre reste culturellement relatif et subjectif. Si ton but est d’en faire profession, il me semble qu’en matière de création, il n’y a pas d’autre performance que celle d’être au plus près de soi.
L’acte créatif se fait dans un élan vers le beau qui dépasse le créateur, sans quoi il n’est plus question de création mais de reproduction. Et qui te dira ce qu’est la beauté si ce n’est ton cœur ? L’exigence esthétique te déstabilise ? Sache qu’elle procède de la comparaison et fait spécifiquement appel au mental et à l’égo, son allié favori. L’égo exige reconnaissance et valorisation. C'est-à-dire la gloire. Or la gloire appartient à l’amour. C’est lui qui insuffle l’énergie créatrice et porte l’œuvre à maturité jusqu’à l’accouchement où il dévoile sa magnificence.
Toute œuvre créée dans l’amour est naturellement belle, comme un nouveau-né. Que vas-tu faire s’il est handicapé? Le jeter ? C'est violent... La notion d’handicap n’existe pas dans la nature. Tu vas tout simplement l'accueillir comme un pur fruit de la création.

L’acte de créer, n’est pas l’apanage d’une élite dont les recettes techniques découlent d’un apprentissage ésotérique.
L’acte de créer est propre à la nature humaine. Il procède d’une énergie originelle issue du mystère de la création de l’univers.
Ne jette pas trop vite ta création si elle crie ou pleure, elle t’interpelle précisément là où tu as mal, là où tu as peur.
Prend-la dans tes bras et tente de l’apaiser en lui faisant un gros câlin. Si tu n’y parviens pas, passe à autre chose. Dans cette conscience élargie, cela peut signifier parler, écrire, danser, faire de la musique, du théâtre ou toute autre forme d’expression, tant que tu es dans la co-création et dans l’amour, crois bien que tu es sur la bonne voie de l’art-évolution spirituelle.
Le talent n’est pas une opération technique générée par le mental. Il se développe lorsque tu parviens à passer outre le mental, pour accueillir pleinement les vibrations envoyées par le mystère de la création. Beaucoup d’artistes, illustres ou non, y sont parvenus et y parviennent.
Le talent se trouve dans la foi en ta réalité créatrice.

Tu es pleinement artiste
quand tu braves tes peurs pour te mettre en lien avec ton être intérieur, sans l’intermédiaire du mental.

L'être créateur est comme un enfant en bas âge. Fragile et pur dans son essence, en connexion directe avec l’énergie de la création. Il sait par nature qu’il est conçu pour créer. Et il crée.
L’adulte veut créer avec le mental. C’est pour cela que les débutants ont peur et obtiennent des résultats médiocres. Comme le mental ne se nourrit que du passé, il cherche à inscrire l’acte de création dans une démarche sécurisante et connue, conditionnée par un cadre psycho-rigide.
L'adulte fait volontairement appel à l’outil du mental pour penser sa création. Or le mental s’est développé à la lumière de toutes les informations environnantes qui viennent s’imprimer dans sa centrale énergétique qu’est la mémoire. Émotions, images, mots, sons, tout y est enregistré, confondu, déformé. C’est à cela que l’artiste est confronté.